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Or, l'atrophie des dimensions subjective et collective épuise la ressource humaine. Les sympt?mes sont apparus dès la fin des années 1990 avec l'accroissement de l'infidélité ou la [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister paris[/url] démobilisation des salariés, puis avec la question de la santé au travail et des risques psychosociaux.
En effet, la flexibilité des entreprises et des marchés le [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] rend potentiellement interchangeable. Aussi, la dimension subjective de son travail [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] est réduite à inlassablement qu'il est toujours la [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] bonne personne à la bonne place en produisant ce qu'on lui demande de (ou davantage).
Mais la création de valeur par le travail ne se réduit pas à cela, et un fossé s'est creusé entre le travail valorisé abstraitement par la bureaucratie financière, et celui que les salariés effectuent en réalité, ce qu' appelle "le travail réel" (Le Travail à coeur, 2010).
UN FOSS? S'EST CREUS?
Au cours de l'histoire, les ont fait l'équilibre de ces trois dimensions. Depuis deux décennies, la financiarisation des organisations a généralisé sa propre lecture de la création de valeur par le travail en hypertrophiant la dimension objective.
La dépression économique [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister pas cher[/url] actuelle montre que nous sommes au bout de cette logique contre-productive. Elle appelle de nouvelles grilles [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] pour [url=http://www.mxjcy.gov.cn/E_GuestBook.asp]louboutin[/url] la création de valeur par le travail en tenant mieux compte de ses trois dimensions. Il faut désormais "définanciariser" les organisations.
Par un co?teux détour, on a d? alors des [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] managers spécialisés (de projets, de proximité, etc.) pour réintroduire de la collaboration et du [url=http://www.gotprintsigns.com/monclerpascher/]moncler pas cher[/url] dialogue dans des organisations exacerbant les intérêts individuels.
Pour la bureaucratie financière, le salarié importe moins en tant que personne que par le r?le qu'il joue dans l'organisation qui l'emploie.
L'hypertrophie de la dimension objective du travail a intensifié les rythmes, tant dans l' que dans les privés et publics, au grand bénéfice de la productivité.
Chargée d'établir l'objectivité et la transparence des calculs, une bureaucratie financière a pu les entreprises en établissant que la valeur est maximisée quand le travail, vu comme purement objectif, atteint les cibles mesurables qu'on lui prescrit.
Subjectif car il est réalisé par des personnes, selon leurs capacités, leur tempérament et leur dignité ; objectif dans la mesure où il produit quelque chose de nouveau, un [url=http://www.hoozmate.com/blogs/posts/George32du78]hollister sale Contre la dette, pour lemploi ma[/url] objet ou un service qui entre dans la circulation économique [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] ; [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] collectif enfin, car tout travail individuel se combine nécessairement avec celui d'un [url=http://www.move-grp.co.jp/p/postmail.cgi]louboutin pas cher Ne sous-es[/url] autre pour que les objets produits puissent .
En contrepartie, les dimensions subjectives et collectives du travail ont [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] été atrophiées.
On identifie ainsi la valeur économique que produit le travail par un montant quantifiable d'objets. Les organisations ont donc développé une comptabilité sophistiquée pour les quantités de biens fabriqués ou les nombres d'actes de service réalisés, afin d'en déduire la création de la valeur économique.
économiques et de gestion estime que la valeur économique est produite par le travail humain. Que [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] ce soit pour l' ou pour le , l'économie organise une circulation de richesses dont la source est le travail.
Or tout travail comprend trois dimensions : il est subjectif, objectif et collectif.
De la même manière, la dimension collective a été découragée par les rémunérations individualisées en fonction des résultats. Celles-ci survalorisent les stratégies individuelles au détriment de la part collective dans la production de valeur.