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hollister uk Les leçons de Crèvecoeur

 
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ierm8ec8




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PostWysłany: Wto 8:30, 05 Lis 2013    Temat postu: hollister uk Les leçons de Crèvecoeur

Les vétérans portent l'insigne sur le bras : une tête d'Indien. Gouailleurs et parfois indisciplinés, les Fran?ais ne tardèrent pas à s' l'estime des autres unités combattantes. "On a eu le baptême du feu en janvier à Wonju (80 km au sud-est de Séoul) par moins 30 degrés. J'avais les doigts gelés et je pensais que je ne pourrais pas tirer", se rappelle René Bordeneuve.
Tous ont été marqués à jamais par cette expérience : c'est le cas du sergent Navarre dont les cendres ont été dispersées par son fils à Crèvecoeur en 2008, comme l'avait souhaité cet engagé volontaire à deux reprises : [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister uk[/url] après été blessé et rapatrié, il était reparti. Un petit musée dans un bunker sur le "piton 931" a été enrichi de documents et [url=http://www.tagverts.com/barbour.php]www.tagverts.com/barbour.php[/url] de photographies, données par Mme Navarre qui, comme d'autres veuves de vétérans, est venue pour la mémoire de son mari mais aussi les [url=http://www.marrakech-hotel.fr]hollister france[/url] lieux que celui-ci décrivait dans ses lettres. "La Corée, c'est un peu notre pays", résume , qui prit part à la bataille de Crèvecoeur.
Puis ce fut la meurtrière bataille de Chipyong-ni (février 1951) qui bloqua l'avancée de quatre divisions chinoises et permit la contre-offensive des Alliés. Bataille décisive pour une autre raison : elle évita le recours à la bombe atomique demandé par MacArthur en cas d'effondrement du camp retranché. Là encore, la guerre menée il y a soixante ans pèse sur le présent : la menace atomique a marqué les dirigeants nord-coréens, qui se réfèrent au conflit de 1950-1953 pour leurs ambitions nucléaires.
Les vétérans fran?ais ont retrouvé les Coréens qui, au départ simples porteurs des vivres et des munitions, avaient été intégrés comme combattants, ouvrant la voie à ceux qui, plus tard, feront Saint-Cyr. Une tradition qui s'est maintenue : chaque promotion de saint-cyriens compte désormais un Coréen. "C'était difficile de se en raison de la langue, mais il y avait un respect mutuel. Ce que nous admirions chez les Fran?ais, c'est qu'ils [url=http://www.corsodiesperanto.it/woolrich.php]woolrich outlet[/url] ne "décrochaient" jamais", dit l'un d'eux, .
Page d'une guerre oubliée, pour meurtrière qu'elle ait été : plus de 2 millions de morts ? Commémoration d'une lointaine aventure militaire retracée dans les d'une génération qui s'éteint comme Les Mercenaires de Jean Lartéguy (1960) ? ce Chemin de mémoire à un dans le passé serait que cette guerre, dont les hostilités ont été suspendues par un armistice sans qu'un traité de paix ait jamais été signé, détermine les enjeux du [url=http://www.skoda-witzke.de/woolrichoutlet.php]woolrich online shop[/url] présent - comme en témoigne la tension actuelle entre les deux Corées - et qu'en raison de l'engagement de 3 400 de ses soldats (dont 269 périrent), la France est membre de la Commission militaire d'armistice, appelée à un r?le dans tout règlement de la question coréenne.
Ils avaient pour beaucoup environ 20 ans. Engagés volontaires, ils partaient vers un pays qu'ils savaient à peine sur une carte. Qu'allaient ces hommes à la poitrine aujourd'hui bardée de médailles, honorés par la France mais aussi par la Corée du Sud et les Etats-Unis ? "On n'était pas des héros. Certains, qui avaient fait la seconde guerre mondiale, partaient par nostalgie de la fraternité au combat ; d'autres, [url=http://www.anepf.fr]doudoune moncler[/url] comme moi, pour le monde", dit Georges Bizeul, qui participa à toutes les batailles. "On était un peu ravagés. C'est la guerre la plus terrible que j'aie faite", ajoute René Bordeneuve, qui allait par la suite dans les parachutistes en Indochine, puis en .
D'autres batailles, non moins lourdes en pertes, allaient : celle de la "cote 1 037", de Crèvecoeur, d'... [url=http://58lb.com/home.php?mod=space&uid=43874&do=blog&quickforward=1&id=106981]mulberry sale Cybersquatting And Your Area Title[/url] Commen?ait une guerre de position non sans analogie avec les tranchées de Verdun : la terre qui tremble sous les avalanches d'obus, les corps à corps, les charges à la ba?onnette : "On a vécu ces années terrés comme des renards sous un déluge de mitraille, attendant les attaques des Chinois qui voulaient nous écraser sous le nombre", poursuit .
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En contrebas de la "cote 931", une stèle à la mémoire du capitaine , tué par un obus de mortier, a été inaugurée en mai par le maire de Saint-Mandé, , président de l'Association des anciens et amis des forces fran?aises de l'ONU, [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] en présence de vétérans, d'épouses et de descendants des disparus qui participèrent à ces combats. Parmi eux, le général , ancien commandant de la Légion étrangère, frère du disparu.
Ce massif porte le nom de "Crèvecoeur" : le mot (heart-break) vint à l'esprit du général américain , commandant de la 8e , lorsqu'il vit le carnage dont la région avait été le thé?tre. Il lui est resté, même en coréen. Là, une compagnie du bataillon fran?ais de Corée mena, entre septembre et octobre 1951, un combat acharné. Pris puis repris par l'ennemi, le massif fut conquis une seconde fois. Sur la ligne de crête sont installés aujourd'hui des postes fortifiés sud-coréens.
Guerre oubliée ? En Occident sans doute mais non en Corée. Dans une partie du monde où les liens de confiance entre les hommes comptent plus que les contrats, et dans un pays où l'histoire est figée par une guerre à laquelle aucun traité de paix n'a mis fin, ce Chemin de mémoire noue au-delà des générations des liens plus profonds que bien des accords entre gouvernements : une mémoire élargie au présent.
Le bataillon fut placé sous le contr?le opérationnel de la 2e division d'infanterie de l'armée américaine - qui est aujourd'hui [url=http://www.tennesseearrests.org/forum/discussion/71550/hollister-sale-why-you-need-to-be-using-an-automated-article-submitter]hollister sale Why You Need To Be Using An Automated Article Submitter[/url] encore en position en Corée du Sud entre Séoul et la DMZ.
Ce monument fait partie du "Chemin de mémoire" ponctuant les lieux des combats du bataillon fran?ais en Corée. C'est la première initiative de ce type prise par l'un des vingt-six pays qui participèrent aux hostilités sous le drapeau des Nations unies. Il a été achevé pour le 60e anniversaire, le 25 juin, du déclenchement de la guerre, lorsque les troupes nordistes franchirent la ligne de démarcation courant le long du 38e parallèle.
Toute une mémoire vivante que s'efforce de le réalisateur Eric Beauducel, qui achève un documentaire (Sous le ciel sombre de Corée) à de la mine de souvenirs de ces hommes dont beaucoup, s'ils avaient un corps de 20 ans, seraient prêts à .
Le bataillon avait été formé à la h?te le 24 ao?t 1950, alors que les forces nord-coréennes occupaient déjà pratiquement toute la péninsule. Il fut placé sous le commandement du général de corps d'armée , qui avait renoncé à ses étoiles pour le grade de lieutenant-colonel et ainsi la tête d'une petite unité. Traités de "mercenaires" par la gauche fran?aise, les volontaires arrivèrent à Pusan, au sud de la péninsule, le 29 novembre. Le général MacArthur avait débarqué à Inchon à la tête des forces des Nations unies, prenant l'ennemi à revers : "Nous avons pensé que tout était fini et que nous allions illico, se souvient Georges Bizeul. En fait, nous allions dans un dr?le de guêpier." La Chine, intervenue fin octobre, avait commencé à les forces alliées. "Au début, on ne savait même pas où on était, tant le front était mouvant."
Certains, ?gés de 18 ans, avaient d? une autorisation parentale pour s' par idéal dans la première ée placée [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] sous le drapeau des Nations unies : "Les Américains nous avaient sauvés et on pensait que l'on devait se [url=http://www.diecastlinks.co.uk]hollister outlet[/url] pour la liberté", dit Jean-Jacques Barbou. D'autres partaient pour un amour, quelque chose... C'est ainsi que le bataillon eut son "Soldat inconnu", qui repose dans le cimetière de Pusan : embarqué clandestinement, il avait été intégré au bataillon mais devait au combat avant que l'on ait pu conna?tre son identité, rappelle Jean-Fran?ois Pelletier, auteur du Bataillon fran?ais de l'ONU, Corée 1950-1953 (éd. des Argonautes, 2004). Par la suite, comme il n'y avait pas assez de volontaires, certains firent deux séjours, et d'autres, du contingent d'Indochine où la France était déjà engagée, furent déroutés sur la Corée.
"Comme ils n'avaient pas de télécommunications, ils sonnaient la charge au clairon ", précise Gérard Journet, l'historien du groupe. "Le premier rang d'assaillants tombait et le second, sans armes, prenait celles des morts pour de quelques mètres", poursuit Georges Bizeul, qui ajoute : "L'évacuation des blessés était [url=http://www.wiis.fr]louboutin pas cher[/url] un calvaire : on les descendait des pitons sur des chemins gelés, et plus d'une fois, ils roulaient dans le ravin." Un sacrifice qui ne fut pas vain : "Nombre de positions prises et tenues par les Fran?ais ont été figées en juillet 1953 par la ligne de démarcation entre les deux Corées instituée par l'armistice", commente le colonel , attaché militaire près l'ambassade de France à Séoul et cheville ouvrière de ce Chemin de mémoire.
Quelques-uns ont voulu de leur mémoire cet épisode de leur vie. Pour l'un d'entre eux, c'était la première fois en quarante-sept ans qu'il retournait en Corée. "Je voulais la page", dit-il. Discret, lui aussi bardé de médailles, il ne souhaite pas que son nom soit mentionné.
Il est difficile d' que ce paysage verdoyant, formé de petites montagnes ondulant à perte de vue était, il y a soixante ans, dénudé, dévasté de trous d'obus. Le piton, à 900 mètres d'altitude, dit "cote 931", surplombe aujourd'hui le grillage électrifié fermant la zone démilitarisée (DMZ) qui sépare les deux Corées d'est [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin[/url] en ouest sur 248 kilomètres. Là s'est déroulée l'une des batailles les plus dures de la guerre qui opposa, en 1950-1953, la et [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] la d'un c?té à la et aux forces des Nations unies de [url=http://cgi1.synapse.ne.jp/~meso/taisaku/cgi-bin/aska.cgi]louboutin Supervisory The Ent[/url] l'autre.


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