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L'humour qui caractérise le film est ainsi un mélange de comique visuel et de satire apparente des codes des productions cinématographiques nipponnes "à costumes". Les gags y ont une nature particulière, ambigu?. Il leur faut, pour au portrait du personnage et à la direction que prend le récit, être à la fois originaux et navrants, inventifs et débiles.
Nomi (incarné par l'étonnant ) est un samoura? déchu, sans épée, minable, traqué par d'excentriques chasseurs [url=http://www.eracorrect.com]mulberry sale[/url] de primes (un pistolero efféminé, une musicienne dont les instruments sont des gadgets de mort) et flanqué d'une fillette boudeuse.
On sait que, parfois, plus désolante est la trouvaille et plus efficace en est la force comique. Mais, progressivement, la répétition burlesque laisse la place à une dimension à la fois plus émouvante (l'homme va-t-il échouer et se ?) et plus morale. La fille du héros, [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] après méprisé son géniteur, samoura? sans dignité, jusqu'à l' à [url=http://www.hanesmorgan.com]hollister outlet[/url] se tout de suite, tente de l' dans son entreprise burlesque. Le récit dévie ainsi progressivement vers une sorte de fable morale à l'issue inattendue.
Film japonais d'Hitoshi Matsumoto avec Takaaki Nomi, , (1 h 43).
Hitoshi Matsumoto tenait, dans les deux cas, le r?le principal, inventant sous les yeux des spectateurs une originale silhouette burlesque. Il n'appara?t pas dans ?, [url=http://bbs.zgxyhs.com/showtopic-71148.aspx]barbour uk outlet Scott Tucker CBS Is Usually Identified Aro[/url] qui renvoie également à toute une tradition du cinéma japonais : le film d'époque, le chanbara, genre [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich parka[/url] dans lequel les récits sont fortement déterminés par les codes et rituels du féodal, dont il livre ici une image à la fois burlesque et émouvante.
. Son nom risque de ne rien au spectateur fran?ais. C'est pourtant un des comiques les [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] plus populaires de [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] la télévision japonaise, concepteur d'une forme de [url=http://www.hanesmorgan.com]hollister sale[/url] burlesque régressif et absurde.
Son premier film, (littéralement "Le "), présenté à la en 2007, était une parodie de films de super-héros et à "grands monstres" [url=http://www.npdx.org/forum.php?mod=viewthread&tid=588257&fromuid=25995]woolrich bologna There Is A Sharp Decline In The Usage Of Gloves As Fashion Acce[/url] (tradition du nippon), genre moqué notamment gr?ce [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] à des procédés de "faux documentaire". Le deuxième, Symbol, une excentricité surréalisante à base de catcheurs mexicains, entre autres.
Capturé par les sbires d'un seigneur, il est sommé par [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] celui-ci [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler[/url] de le à son fils, déprimé depuis la mort de sa mère. Il est donc condamné à au point, quotidiennement, pendant trente jours, un petit spectacle dont [url=http://www.buynflticketsonline.com]Cheap NFL Tickets[/url] le concept ou la chute finale sont censés dérider le gamin mélancolique. Il sera, s'il échoue, contraint de un suicide rituel au bout de la trentième tentative. S'ensuit une succession de trouvailles burlesques dérisoires, de gags dépressifs et infantiles.
LA BANDE-ANNONCE
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C'est peut-être là la clé de ce qui ressemble au mariage bizarre d'un conte [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/2pcs-Neon-LED-Bike-Car-Tyre-Tire-Green-Valve-Caps-Light-/320518985750]outlet hogan Le syndrome du r[/url] zen avec un film de Laurel et Hardy.
Saya Zamura?, derrière l'apparente frivolité [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] de son propos, constitue une réflexion plus profonde, peut-être, sur le spectacle lui-même. Le pitoyable héros du film de Matsumoto rejoint, en effet, la condition qui était celle du cinéaste lui-même, soit celle d'un amuseur public contraint, tous les jours, de un public avec des à l'incertaine qualité.
Suicide rituel