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Il y a un paradoxe. Nous sommes attachés, plus que d'autres, à la puissance nationale. Mais est aussi solidement ancrée l'idée que l'Etat n'a plus les moyens de ses prétentions, que le monde est devenu trop vaste pour que l'on puisse raisonnablement y réussir mieux tout seul plut?t qu'avec les autres.
La crise grecque peut-elle entra?ner une remontée de l'euroscepticisme ?
Ils savent que tout [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister deutschland[/url] mouvement vers une sorte d'euroscepticisme produirait [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] des effets sur les marchés financiers, sur les taux. Pour un parti de gouvernement, ou qui aspire à [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour[/url] l'être, il n'y a pas d'intérêt raisonnable à de l'huile sur [url=http://www.ebay.com/itm/aw-cgi-/221118406278?clk_rvr_id=468831012783]hollister Opposition et major[/url] le feu. En revanche, les partis périphériques ont intérêt à [url=http://www.zgzxx.com/guestbook.asp]barbour Di[/url] cet espace politique. Ils vont donc le .
Probablement. D'autant que le vieillissement de la correspond à de la dette programmée. En 2007, , le [url=http://park10.wakwak.com/~hahha/cgi-bin/simajiri.cgi]abercrombie Les intellectuels[/url] président du , en avait fait un axe majeur de sa campagne. Cela dit, le sujet est très anxiogène et peut aussi, pour cela, être occulté.
En France, les deux principaux partis, l' et le PS, [url=http://www.osterblade.com]moncler sito ufficiale[/url] sont sur une ligne proche, de solidarité avec la Grèce...
La dette sera-t-elle un thème structurant de la campagne de [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour jackets[/url] la présidentielle [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] de 2012 ?
Je crois en effet que les pays du Sud se projettent comme des pays potentiellement en difficulté. Ils sont donc sensibles à l'idée d'un filet de sécurité, dont ils pourraient être les bénéficiaires... Ce qui est intéressant, c'est aussi que l'on observe partout une réelle inquiétude face à la dette des [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry sale[/url] Etats. La crise grecque peut à en un thème politique majeur. Avec l'idée, nouvelle, [url=http://www.giuseppezanottipaschere.com]giuseppe zanotti sneakers[/url] que, si l'on se retrouve en grande difficulté, on peut être seul.
L'on observe, en , deux types de réactions, [url=http://www.par5club.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] qui peuvent deux euroscepticismes inverses. Les pays du Nord (, , ) ne [url=http://www.ktbruce.co.uk/barbourjackets.php]barbour.co.uk[/url] comprendraient [url=http://www.thehygienerevolution.com/hollister.php]hollister[/url] pas que l'on un pays sans contreparties solides, alors qu'eux-mêmes ont fait beaucoup d'efforts. Pour les pays du Sud (France, , ), plus solidaires et compassionnels, si l'on n'aide pas un pays en difficulté, c'est une remise en question de la légitimité de l'Europe. Cette crise pose la question de la transaction politique. Qu'est-ce que l'Europe offre en contrepartie de l'abandon d'une part de souveraineté nationale ?
(Fondapol), un club de réflexion libéral et pro-européen de droit, qui a publié fin mars une étude d'opinion sur les "Européens face à la crise grecque".
Quelle est, plus précisément, l'opinion des Fran?ais ?
Si les pays du [url=http://www.ktbruce.co.uk/mulberrysale.php]mulberry outlet[/url] Sud ont plus de compassion pour la , n'est-ce pas parce qu'ils craignent pour eux-mêmes ?