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Corée du sud. Les [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] salariés en grève lundi et mardi ont [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] contraint le gouvernement à des reculs sur les privatisations.
Séoul (Corée du Sud),
correspondance particulière.
L'union fait la force. Cette maxime a beau avoir [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] été maintes fois prouvée, la KCTU et la KFTU, les deux principales confédérations syndicales sud-coréennes, avaient du mal à l'appliquer. Pourtant, cette semaine, pour une fois main dans la main, elles sont parvenues par leur ténacité, et gr?ce à la pression de l'opinion publique, à faire plier le gouvernement. Ce dernier a d? mettre un terme à son intransigeance et est revenu à [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin pas cher[/url] la table des négociations. Lundi et mardi, cent trente mille syndicalistes avaient lancé une grève générale. Pour les employés du service public, l'objectif était d'empêcher la série de privatisations prévues par l'?tat ; les employés du secteur privé avaient plut?t en tête la finalisation du passage à la semaine de cinq jours.
Pour montrer [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] sa fermeté, le gouvernement avait rappelé la loi qui interdit aux secteurs dit " d'utilité publique " de faire grève. Dès l'annonce du mouvement dimanche soir, les autorités l'avaient ainsi déclaré illégal et promis de punir sévèrement leurs organisateurs. Une habitude sous la présidence de Kim Dae-Jung : six cent quatre-vingt-six syndicalistes ont été emprisonnés depuis son arrivée au pouvoir en 1998. Malgré tout, le président a fait preuve de prudence dans ses propos. Après que l'opinion publique s'est prononcée contre les privatisations, l'opposition, pourtant très conservatrice et d'obédience libérale, a critiqué l'option décidée par le pouvoir en place. Le gouvernement a donc d? repartir à la table de négociations et y a visiblement démontré une position moins obtuse.
Premier motif de satisfaction, les syndicats [url=http://www.lcdmo.com/jordanpascher.php]jordan pas cher[/url] auront désormais leur mot à dire dans toute la privatisation des chemins de fer nationaux (KNR), dont seules deux des vingt-quatre lignes sont bénéficiaires. Première conséquence : le processus est repoussé à une date lointaine car les négociations pour trouver un consensus, rendu obligatoire par l'accord trouvé avec le gouvernement, risquent d'être difficiles. Pour preuve, le Parlement a décidé de ne pas voter la loi de [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] privatisation de la KNR. Second succès de taille : les autorités ont accepté de réduire le temps de [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] travail sans diminuer les salaires.
Plusieurs questions restent pourtant en suspens. La réintégration des ouvriers licenciés n'a ainsi pas encore été réglée. Ensuite, si le pouvoir a accepté de demander l'avis des syndicats, le [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] porte-parole de la Maison-Bleue (la demeure présidentielle) s'est pourtant voulu résolu : " La privatisation demeure la direction choisie. " Les services ferroviaires devraient donc conna?tre une vaste mise en chantier dans les années à venir. Il devrait en être de même pour les autres secteurs incriminés. Korea Tobacco and Ginseng, qui détient plus de 80 % du marché de la cigarette, vendra 33 % de ses parts à des investisseurs privés. Korea District Heating écoulera sous forme d'action 36 % de ses parts à l'étranger et 36 % sur le marché local. L'?tat cherche à vendre 51 % des parts de KT, l'opérateur téléphonique, qu'il détient encore.
Si les employés du secteur privé ont mis fin sans négociation à leur mouvement, [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] qu'ils avaient principalement débuté en soutien à leurs collègues du public, les ouvriers de la Korea Electric Power, qui détient le monopole national du secteur de l'énergie en Corée, continuent leur mouvement. Membres de la KCTU, le syndicat le plus combatif (alors que les syndicats des chemins de [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] fer et du gaz [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] sont affiliés à la KFTU), ils refusent notamment que l'?tat mette aux enchères plusieurs réacteurs.
Tristan de Bourbon

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