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Malgré le retour de la croissance, la perspective d'y de manière importante le taux de ch?mage (9,4 %) [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] est peu plausible à court terme. Pour y - M. Obama l'a dit plusieurs fois -, son pays devrait tout son modèle économique, tant il a aussi accumulé des handicaps : infrastructures obsolètes, éducation en berne, leadership technologique menacé... Les Etats-Unis affrontent un enjeu de court terme - créer massivement des jobs - qui ne trouvera de réelle réponse que sur le long terme.
Dans de telles conditions, la phase deux, celle de la "reconstruction de l'Amérique", sera autrement plus ardu que prévu. D'autant que les frayeurs et les frustrations qui [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] accompagnent le sentiment de tant d'Américains de le statut d'hyperpuissance [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] économique est lourd de menaces politiques intérieures.
Deux ans plus tard, M. Obama se retrouve confronté à l'échec de la phase un. Certes, banques et voient le temps des bénéfices, mais le pays s'enfonce dans un sous- structurel. Pour M. Obama, "le [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister france[/url] monde a changé, et pour beaucoup ce changement a été douloureux". Aujourd'hui, 15 millions d'Américains [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] recherchent un emploi, et presque autant travaillent à temps partiel. Rapporté à la active, près d'un salarié [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] sur cinq est touché par une forme de ch?mage, alors que la protection sociale [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] des ch?meurs reste très inférieure à ce qu'elle est en .
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Pourtant, M. Obama a préféré un langage de [url=http://forum.ezjoy.com.hk/home.php?mod=space&uid=193399][/url] vérité à [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] ses compatriotes. Il a évoqué la nécessité d'améliorer la compétitivité de son appareil industriel, de même que "l'innovation pour créer des boulots en Amérique et pas ". Evoquant la , la , les pays d'Europe et la , il n'a pas masqué les domaines où son pays prenait du retard. "Nous devons mieux", a-t-il conclu.
Certes, ces paroles s'inséraient aussi dans un contexte : l'affrontement avec l'opposition républicaine sur [url=http://www.mansmanifesto.fr]doudoune moncler homme[/url] la poursuite d'investissements publics essentiels ou la réforme fiscale, avec pour perspective l'échéance présidentielle en 2012. Reste que, si les Etats-Unis entendent réellement leur économie et créer les [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] emplois dont ils ont besoin, ils devront bien "faire mieux" qu'aujourd'hui.