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Bient?t appara?t le concept paradoxal de "guerre zéro mort". La préoccupation majeure aux Etats-Unis, à la veille de la première guerre avec , au lendemain de l'annexion par ce dernier du , en 1991, est d'éviter à tout prix de des effectifs. L'intervention, comme toutes celles qui suivront, en Afghanistan ou en Irak (2003) se caractérise par [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi%3Fmode%3Dview%26no%3D1118664%26res%3D1%26page%3D400]abercrombie pas cher Niveau d[/url] une campagne aérienne prolongée menée contre un adversaire ne disposant pas de moyens antiaériens notables et destinée à détruire ses infrastructures et ses moyens militaires.
et d' menées par les Etats-Unis et leurs alliés se sont révélées, l'une comme l'autre, des guerres d'usure contre des irréguliers qu'il n'a pas été possible de malgré des moyens considérables en hommes et en logistique.
D'ordinaire, l'organisation [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] d'une résistance requiert du temps, des armes, des moyens financiers et l'organisation d'un soutien d'une partie au moins de la . En Irak, la minorité sunnite, dépossédée du , [url=http://www.mnfruit.com/doudounemoncler.php]moncler[/url] au sein de laquelle s'étaient depuis toujours recrutés les dirigeants du pays, a pu d'emblée s' aux étrangers. L'expérience irakienne s'est révélée désastreuse et constitue un échec . Le régime actuel véhicule des armes d'origine iranienne pour la de .
De toute évidence, nous assistons, en Afghanistan, à la dernière opération [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] massive, [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich[/url] au sol, d'ées occidentales dans une guerre irrégulière. La dimension sociale de la stratégie a été sous-estimée par les décisionnaires occidentaux et notamment par les Américains. Nos s occidentales ont connu une modification de sensibilité depuis une trentaine d'années qui ressemblent fort à une mutation. L'Occident tend désormais à évacuer la mort, et ceci ne se cantonne pas à l'aspect militaire, mais concerne la société civile elle-même. Le premier indice de ce changement, au lendemain [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] de guerres comme celle [url=http://www.louboumaterialistanyc.com]louboutin[/url] d' et du , est constitué par le retrait du Liban en 1983, date à laquelle deux camions-suicides tuent 241 marines et 58 parachutistes fran?ais à Beyrouth. Peu après, bien que ces événements se situent sous la présidence du républicain Ronald Reagan, les troupes occidentales se retirent du . Le "syndrome vietnamien" n'est pas encore oublié.
PLACE AUX FORCES SP?CIALES
La réflexion sur ces expériences débouche sur un refus d'opérations massives au sol. Les forces spéciales vont une place croissante comme le démontre l'opération menée au avec un peu moins d'un millier d'hommes opérant dans une région sous-peuplée où l'adversaire ne peut de base de masse et où elles [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] ne doivent qu'un temps très limité.
Le conflit afghan, considéré comme réglé, lui aussi après la chute du régime des talibans, a été la victime collatérale de la guerre d'Irak. Ce conflit s'annonce également comme un échec politique, les talibans n'ayant cessé de se et de créer des hiérarchies parallèles, rendant la dans les villages, montrant ainsi que ce sont eux qui dominent les zones rurales. La conquête administrative, on le sait, est plus importante que les avancées territoriales.
Dans le contexte malien, ce type d'opération, combiné avec des frappes aériennes est tout à fait adapté aux besoins de la situation. C'est d'ailleurs la partie la plus facile, le passage de relais aux forces de l'ONU et à l'administration locale est autrement plus complexe.
La coalition perd quelque 350 hommes [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan[/url] (dont un certain nombre par accidents [url=http://www.compuphonic.co.uk/index.php?do=/blog/add/]moncler outlet Sexe, mensonge et famille[/url] provoqués par la coalition elle-même). Et pour la première fois, dans la longue histoire des batailles, le chiffre des soldats adverses tués au combat n'est pas donné. Selon les estimations des états-majors américains et britanniques, il se situerait entre un minimum de 35 000 et un maximum du double, soit 1 000 à 2 000 morts irakiens pour chaque militaire de la coalition tué. L'opinion publique occidentale ne peut aisément une telle disproportion. L'opinion publique fran?aise a changé, ceci bien s?r n'est pas un jugement, mais un constat.
Lire le débat? , avec ,?directeur ; , philosophe ; Gérard Chaliand, géopoliticien ; , ancien président de Médecins du monde ; , ethnologue, et Léa-, journalistes.
Dans un cas comme dans l'autre, la [url=http://bbs.jimmyeatworld.com/entry.php?137440-woolrich-Eminem-remporte-une-bataille-sur-les-droits-dauteur]woolrich Eminem remporte une bataille sur les droits dauteur[/url] victoire a été proclamée après [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] la chute [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan pas cher[/url] d'un régime. Cependant, l'expérience démontre qu'un adversaire n'est vaincu que s'il admet sa défaite. Cela n'a pas été le cas en Irak où, dès le lendemain de la chute de Bagdad [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] (2003), des [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler[/url] actions à caractère terroriste ont affecté les troupes étrangères en milieu urbain comme à l'échelle des communications terrestres.